Tout le monde a un cerveau, mais peu de gens le savent .

Prism : la Commission européenne muette ...

Du côté de l’Union européenne, la révélation de Prism commence à provoquer des remous. L’eurodéputée socialiste Françoise Castex demande à la Commission européenne « de confirmer l’existence de telles pratiques ». Et elle ne manque pas de rappeller avec virulence que « ce scandale éclate alors que la législation européenne sur la protection des données personnelles est en cours de révision ». Une procédure qui « fait l’objet d’un lobbying insupportable des industries géants américains du Net, et ce, avec le concours du gouvernement américain. » Après avoir exprimé ses inquiétudes vis-à-vis du Patriot Act, Françoise Castex enfonce le clou et somme Bruxelles « d’agir afin de protéger la vie privée des ressortissants de l’Union européenne en particulier sur le cloud face la toute-puissance du Foreign Intelligence Surveillance Amendment Act (FISAA). » On attend la réaction de la Commission européenne.

ITespresso.fr

Après la DCRI, Linkeo !

Première mise en demeure pour l'association LinuxFr ...
Geektionnerd : Linkeo ...

Libérons le cahier de l'Admin Debian

Pour que tout le monde profite de ce livre de référence publié par Eyrolles ...

N'oublions pas !!

Souvenez-vous des députés qui ont voté pour Hadopi ou se sont abstenus ...
Parlement européen : Qui est pour et qui est contre l'ACTA? ...

Censure et filtrage du Net avec Acta. Hadopi. Loppsi, Riposte graduée ...

La Commission européenne démontre son mépris pour les citoyens ...
Le parlement européen se plie au lobbying d'entreprises principalement américaines ...

Les juges européens ne cachent pas leur colère devant les manœuvres de la Commission Européenne ...

La Commission européenne serait-elle plus préoccupée par la promotion des intérêts d’une entreprise pharmaceutique américaine ?

Brevet unitaire .

Le service juridique du Parlement européen confirme les doutes sur l'illégalité du projet ...

Non à la privatisation du domaine public par la Bibliothèque nationale de France !

Seule la minorité de ceux qui pourront faire le déplacement à Paris et accéder à la BnF seront en mesure de consulter ces documents ...

Dites au W3C : nous ne voulons pas d'un Hollyweb (2013) .

Bannière journée internationale contre les DRM

Hollywood a remis ça. Son dernier stratagème pour s'approprier le web ? Faire usage de son influence au World Wide Web Consortium (W3C) pour intégrer la gestion numérique des restrictions (DRM) au HTML5 – autrement dit, à la structure même du web. Des millions d'internautes se sont mobilisés contre SOPA et PIPA, mais maintenant les magnats des grands médias se tournent vers des organismes non gouvernementaux pour essayer de glisser les restrictions numériques dans chacune de nos interactions en ligne. Des géants comme Netflix, Google, Microsoft et la BBC se rallient à cette proposition désastreuse, qui défie la mission du W3C, « amener le World Wide Web à réaliser son plein potentiel ».

Aidez-nous à rassembler 50 000 signatures avant le 3 mai 2013, Journée internationale contre les DRM. Nous apporterons ces signatures au W3C (ils sont juste au bout de la rue !) et ferons entendre votre voix.

Nous en appellons au World Wide Web Consortium (W3C) et à ses organisations membres pour rejeter la proposition d'« extensions pour médias chiffrés » (EME), qui intégrerait la gestion numérique des restrictions (DRM) dans le HTML.

Ces extensions pour médias chiffrés seraient un retour en arrière irréversible pour la liberté du web. Elles valideraient et rendraient possible des modèles économiques limitant les activités des utilisateurs de manière contraire à l'éthique ; elles conditionneraient la pleine citoyenneté sur le web au passage sous la coupe de sociétés de médias particulières. Alors même que Flash et Silverlight disparaissent enfin, nous ne devons pas les remplacer par la dernière lubie des géants des médias qui cherchent à nous contrôler.

De plus, le principe des extensions pour médias chiffrés est en contradiction avec les valeurs fondamentales du W3C. Cela gênerait l'interopérabilité en encourageant la prolifération des greffons de DRM. Le principe du W3C de garder le web libre de droits serait bafoué car il s'agit ni plus ni moins d'une porte dérobée permettant aux sociétés de médias d'exiger des lecteurs privateurs. C'est se cacher la tête dans le sable que de prétendre le contraire, pour la simple raison que la proposition ne cite pas nommément de technologie ni de système de DRM particulier.

W3C et organisations membres, ne tissez pas le web avec des DRM !

« Si les gens savaient qu’il y a un DRM, ce que c’est et comment ça fonctionne, nous aurions déjà échoué »
(“If consumers even know there’s a DRM, what it is, and how it works, we’ve already failed”)

Disney, dans The Economist, septembre 2005

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